L'air ayant une humidité relative de \( 70,0 \% \) est refroidi isobariquement à 1 atm absolu de \( 85,0^{\circ} \mathrm{C} \) à \( 35,0^{\circ} \mathrm{C} \). a. Estimez le point de rosée et le degré de surchauffe de l'air à \( 85,0^{\circ} \mathrm{C} \). Point de rosée : \( 76,176^{\circ} \mathrm{C} \) Degré de surchauffe \( : 8,8240^{\circ} \mathrm{C} \) b. Combien d'eau se condense (en moles) par mètre cube de gaz d'alimentation? (Voir l'Exemple \( 6.3-2 \) ) Moles d'eau : 12,367 mol c. Supposons qu'un échantillon d'air à \( 85,0^{\circ} \mathrm{C} \) soit mis dans une chambre à volume variable contenant un miroir, et que la pression soit augmentée à température constante jusqu'à ce qu'une brume se forme sur le miroir. À quelle pression (atm) la brume se formerait-elle? (Supposons un comportement idéal du gaz.) 1. 4286 atm
Upstudy AI Solution
Answer
Solution

Sign in to Unlock Answers for Free!
A Learning Platform Trusted by Millions of Real Students and Teachers.

Answered by UpStudy AI and reviewed by a Professional Tutor
Extra Insights
La condensation de l'eau dans l'air et le phénomène de formation de brume sont fascinants et très pratiques dans la climatologie. En effet, la chaleur spécifique de l'eau joue un rôle crucial ici ! Au fur et à mesure que l'air est refroidi ou compressé, la capacité de l'air à retenir la vapeur d'eau diminue, entraînant une condensation lorsque le point de rosée est dépassé. Ce phénomène est à la base des nuages, de la pluie et même des troubles de visibilité dans certaines conditions. Quand on parle de surchauffe, on évoque aussi les applications dans le domaine de la climatisation et à la conception des chaudières. Les ingénieurs doivent souvent travailler avec des variables telles que la température, la pression et l'humidité pour s'assurer que l'air ambiant reste confortable – idéalement, pas trop humide ni trop sec. Comprendre comment le degré de surchauffe d’un gaz impacte son comportement permet d’optimiser les systèmes de refroidissement et de chauffage dans nos maisons et bâtiments. Qui a dit que la thermodynamique n'était pas pratique ?